Bureau du Professeur Levins

- Bonjour Monsieur, je peux vous déranger ?

Demande-t-il toujours a l'entrée de la porte, sans qu'il n’aperçoit encore les étranges choses a l'intérieur du bureau.

-Me déranger, non. Mais je suis sûr que la raison de la venue d'un élève de première année dans cette pièce ne doit pas être dérangeante. Approche, je t'en prie.

Répond l'homme après avoir levé les yeux de son étude.

Vincent se décide alors a approcher et avant de prendre parole il reste un instant bloqué sur les objets étrange en essayant semble-t-il d'y déceler leurs utilité par leurs forme. Visiblement ils sont capable de se mouvoir seul. Pourquoi pas, ce n'est plus la première fois qu'il voit des choses de ce genre.

- Hmm oui, j'ai besoin de votre aide.

Les différents systèmes présents dans la pièce pourraient s'apparenter à des mécanismes dont on aurait enlevé les engrenages et autres éléments permettant un mouvement. Et pourtant, mouvement, il y a, même si la plupart des objets restent statiques.

-L'aide d'un professeur de Défense Contre les Forces du Mal ? Un souci, peut-être, ou une question concernant un évènement auquel tu aurais assisté ?

Il est fort probable que Vincent ne comprenne pas vraiment. Quoi qu'il en soit il en vient au fait.

- Je dois m'informer sur quelque chose par rapport a moi, sauf que le rayon de la bibliothèque ou je dois aller m'es pas permis. Il y'a que les Professeurs qui peuvent y aller. C'est ce que m'a dit le Bibliothécaire. Le rayon porte sur les fantômes principalement, leurs types par exemple. Farceur, frappeur...

-L'étude des fantômes et un sujet particulièrement avancé et le manque de retenue des plus jeunes pourrait donner lieu à des résultats désastreux, raison pour laquelle les livres dessus ne sont pas disponibles à tout le monde. Pourquoi tant d'intérêt pour nos amis spectraux ?

Lui demande le professeur avant de poser son parchemin sur une étagère derrière le bureau.

- Des résultats désastreux ? Du genre ?

Demande-t-il curieux. Probablement des forces incontrôlable imagine-t-il en premier lieu. Néanmoins il répond a la question.

- Avec une amie, on voulait étudier quelque chose qui m'arrive, une ancienne professeur qui est lié a moi, selon elle car j'ai des points en plus du coté de la magie de l'esprit même si je sais pas exactement ce que c'est la magie de l'esprit. J'ai des suppositions rien de plus. Le truc intéressant c'est qu'il y'a que moi qui peut la voir dans toute l'école. Je connais ni son nom ni sa matière, mais elle est capable de murmurer des choses qui peuvent rendre un peu "fou" certaines personnes, attention hein, elle est pas méchante, elle s'ennuie juste un peu.
Du coup je voulais voir avec mon amie si il existe des types de fantôme et si ce genre de cas a deja existé, et puis aussi vérifier que c'est pas juste une mauvaise blague d'un fantôme farceur.

- Que j'ai des capacités qui me permet de la voir. Magie de l'esprit donc.

Il hausse les épaules montrant qu'il ne fait que citer ce qu'on lui a dit, mais qu'il ne sait absolument pas ce que ça représente vraiment ni même si ce n'est pas un mensonge.

- Quand je la reverrais, je lui demanderais son nom et sa matière lorsqu'elle était prof, peut être qu'elle est connu. En attendant je voulais un peu m'avancer mais j'ai été bloqué du coup.

Le rayon étant inaccessible.

-Si on donnait l'accès à la réserve à tous les élèves qui venait nous raconter des histoires étonnantes, la moitié de Poudlard y passerait son temps. Une preuve ou un élément particulier qui puisse attester de ton histoire ou de la présence d'un tel fantôme serait un début.

Lui répond tranquillement Levins.

-Essaye déjà de récupérer des informations sur elle, voilà.

Vincent ne dit rien, c'est vrai qu'il vient pas du même monde et que les autres sont habitué a toute sorte de chose. Il hausse les épaules par conséquent, puis se gratte la tete.

- Du coup je reviendrais quand j'en saurais plus alors.

-Ma porte te sera ouverte. Au plaisir dans ce cas.

Répond sobrement Levins avant de retourner à son parchemin.

- Au revoir.

Le jeune garçon quitte les lieux, un peu déçu forcément.